BonjourĂ  tou(te)s Comme beaucoup, la news sur les nominĂ©s du Sdj m'a laissĂ© pantois, voire mĂȘme sur mon sĂ©ant, tant il existe un gouffre entre mes sensations ludique de l'annĂ©e et la pauvretĂ© et le Écoutemoi, Ă©coute-moi je ne me retournerai pas (ayayaa) Ne doute pas, ne crois pas, qu'entre nous ça s'arrangera (non non non) Ne mens pas, ne mens pas j'ai vu qu'je n'Ă©tais pas la seule depuis un moment. Ne me retiens pas, faut que je m'en aille, celle qui prend la porte. Et ça me prend la tĂȘte de devoir te faire souffrir. Quelquepart au parking de tes rĂȘves. Ton prince charmant est fatiguĂ©. Faut qu’ t’ en trouv’ un qui soit plus gai. Faut que t’ en trouv’ un vrai qui t’enlĂšve. Faut que je m’en aille. Faut que je m’en aille. Pourquoi j’peux pas te dire bye bye. T’aurais pas dĂ» partir tout c’ temps. M’ laisser tout seul aussi longtemps. Vay Tiền Nhanh Ggads. La Parole nous enseigne que l’ÉvangĂ©lisation est la mission de tout chrĂ©tien, mais aussi qu’évangĂ©liser ne s’improvise pas. Nous allons voir, dans cet article, 7 principes fondamentaux tirĂ©s de la Bible pour ĂȘtre un ouvrier efficace dans la moisson de Dieu 1. Notre message doit se baser sur la Parole de Dieu La Bible nous enseigne que seule la foi en JĂ©sus peut sauver l’Homme et que c’est une grĂące de Dieu. En effet, Jean 316 nous dit que “Dieu a tant aimĂ© le monde, qu’il a donnĂ© son Fils unique afin que quiconque croit en Lui ne pĂ©risse pas mais qu’il ait la vie Ă©ternelle”. Paul confirme dans son ÉpĂźtre aux ÉphĂ©siens, chapitre 2, verset 8, que c’est bien par grĂące que nous sommes sauvĂ©s, par le moyen de la foi, et que cela ne vient pas de nous, c’est le don de Dieu. Si donc nous sommes sauvĂ©s par la foi en JĂ©sus et que celle-ci vient de Dieu, nous pourrions nous demander quel rĂŽle nous avons Ă  jouer dans le plan de sauvetage de Dieu pour l’HumanitĂ©. Mais Paul nous prĂ©cise que “la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ” Romains 1017. C’est pourquoi il est important que nous communiquions l’Évangile et que nous basions notre message sur la Parole de Dieu. Parfois, nous pouvons ĂȘtre tentĂ©s de dire aux gens ce qu’ils ont envie d’entendre pour les attirer Ă  Christ. En effet, en voyant la misĂšre dans laquelle vivent certaines personnes, nous pourrions avoir envie de leur prĂ©senter l’Évangile comme le moyen de rĂ©gler leurs problĂšmes du quotidien. MĂȘme si le sentiment qui nous anime peut ĂȘtre louable, cette façon d’évangĂ©liser serait inefficace. Elle produirait tout au mieux que de fausses conversions, car celles-ci seraient basĂ©es, non sur la reconnaissance de leur besoin d’avoir leurs pĂ©chĂ©s pardonnĂ©s, mais seulement sur la rĂ©solution de leurs problĂšmes sĂ©culiers. Ce serait comme traiter les symptĂŽmes d’une maladie, sans jamais s’attaquer Ă  sa cause. A la premiĂšre amĂ©lioration des symptĂŽmes, on se rĂ©jouit jusqu’à oublier la maladie et s’éloigner du mĂ©decin. Mais la maladie demeure et se manifestera encore jusqu’à l’issue irrĂ©mĂ©diablement funeste, si sa cause n’est pas traitĂ©e. La prĂ©dication de l’Évangile doit s’attaquer Ă  la cause des maux de ce monde; le pĂ©chĂ©. Ce que nous devons dĂ©sirer avant tout, c’est que les gens puissent reconnaĂźtre leur culpabilitĂ© devant Dieu et se repentir, pour qu’ils puissent recevoir la Bonne Nouvelle du pardon des pĂ©chĂ©s par la foi en Christ. C’est pourquoi, nous devons confronter leur nature pĂ©cheresse Ă  la Parole de Dieu, en utilisant notamment les Lois morales les dix commandements et les rĂ©vĂ©lations spirituelles que JĂ©sus y a apportĂ©es Matthieu 520-48. Ensuite, pour que la foi puisse se fonder et se dĂ©velopper dans leur cƓur, qu’ils soient sauvĂ©s et deviennent des disciples Ă  leur tour, nous devons leur dĂ©montrer la puissance que Dieu a manifester Ă  travers l’accomplissement des prophĂ©ties messianiques en JĂ©sus, et notamment sa rĂ©surrection d’entre les morts. Ce n’est qu’ainsi que les gens peuvent ĂȘtre gagner Ă  Christ, non par des raisonnements ou des philosophies qui ne gagneraient finalement que leur adhĂ©sion mental au message que nous prĂȘchons. L’adhĂ©sion mentale Ă  un message, croire Ă  une information, ce n’est pas la foi et ça ne sauve pas. HĂ©breux 111 dit que “la foi est une ferme assurance des choses qu’on espĂšre, une dĂ©monstration de celles qu’on ne voit pas”. La foi est donc bien plus qu’une simple croyance. La Parole nous dit que “les dĂ©mons 
 croient aussi, et ils tremblent” Jacques 219. Croire Ă  Dieu, Ă  son existence, c’est bien. Mais croire en Dieu – en d’autres termes, placer sa confiance en Lui, avoir la foi – c’est essentiel. 2. Notre message doit rapporter notre tĂ©moignage personnel Juste avant d’ĂȘtre livrĂ© par Judas, JĂ©sus a dit Ă  ses disciples “Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du PĂšre, l’Esprit de vĂ©ritĂ©, qui vient du PĂšre, il rendra tĂ©moignage de moi; et vous aussi, vous rendrez tĂ©moignage, parce que vous ĂȘtes avec moi dĂšs le commencement.” Jean 15126-27. En des termes similaires, JĂ©sus va s’adresser Ă  ses disciples juste avant d’ĂȘtre enlevĂ© au ciel par une nuĂ©e, et leur dire Ă  nouveau “vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes tĂ©moins Ă  JĂ©rusalem, dans toute la JudĂ©e, dans la Samarie, et jusqu’aux extrĂ©mitĂ©s de la terre.” Actes 18. En mĂȘme temps que d’aller par tout le monde et prĂȘcher l’Évangile Ă  toute la crĂ©ation Marc 1615, JĂ©sus tenait Ă  ce que nous tĂ©moignions des choses que nous avons pu le voir directement accomplir dans nos vies, ou dans la vie d’autres personnes. Pourquoi JĂ©sus tenait-il tant Ă  ce que ses disciples tĂ©moignent de Lui ? Probablement parce que le tĂ©moignage personnel est nĂ©cessaire pour valider aux yeux d’autrui notre message de l’Évangile. Sans tĂ©moignage personnel, notre message perdrait un peu en soliditĂ©, et nous nous retrouverions dans le rĂŽle de l’avocat de Dieu Ă  essayer de dĂ©fendre coĂ»te que coĂ»te son Ɠuvre, en allant peut-ĂȘtre jusqu’à nous emporter et passer pour des fanatiques. A travers sa premiĂšre ÉpĂźtre Ă  TimothĂ©e, chapitre 6, verset 20 Ă  21, Paul nous recommande d’éviter “les discours vains et profanes, et les disputes de la fausse science dont font profession quelques-uns, qui se sont ainsi dĂ©tournĂ©s de la foi”. Il semble que le tĂ©moignage personnel, au mĂȘme titre que la Loi morale de MoĂŻse et les prophĂ©ties messianiques, soit un moyen que Dieu nous prescrit pour atteindre les gens tout en Ă©vitant les piĂšges des dĂ©bats sans fins et inutiles. C’est d’ailleurs l’exemple que les apĂŽtres nous montrent dans le livres des Actes. Comme Paul qui annonçait l’Évangile voir Actes 262-23 “en rendant tĂ©moignage, et en cherchant, par la loi de MoĂŻse et par les prophĂštes, Ă  les persuader de ce qui concerne JĂ©sus” Actes 2823, Pierre utilisait le mĂȘme procĂ©dĂ© Actes 214-36; 1034-43. 3. Notre foi doit ĂȘtre une foi visible, une foi vivante Jacques 215-17 nous dit “Si un frĂšre ou une sƓur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l’un d’entre vous leur dise Allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez ! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nĂ©cessaire au corps, Ă  quoi cela sert-il ? Il en est ainsi de la foi si elle n’a pas les Ɠuvres, elle est morte en elle-mĂȘme.” Une foi vivante est donc nĂ©cessairement une foi Ɠuvrante. Mais comment nos Ɠuvres peuvent-elles nous aider dans l’évangĂ©lisation ? Dans Matthieu 514-16, JĂ©sus parle Ă  ses disciples et leur dit “Vous ĂȘtes la lumiĂšre du monde. Une ville situĂ©e sur une montagne ne peut ĂȘtre cachĂ©e; et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais on la met sur le chandelier, et elle Ă©claire tous ceux qui sont dans la maison. Que votre lumiĂšre luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient vos bonnes Ɠuvres, et qu’ils glorifient votre PĂšre qui est dans les cieux.” Notre lumiĂšre, c’est notre foi qui vient du PĂšre, et c’est par nos Ɠuvres, nos bonnes actions, que sa beautĂ© peut devenir visible et permettre aux hommes de glorifier notre PĂšre. Le message que nous prĂȘchons ne doit donc pas seulement sortir de notre bouche mais doit transparaĂźtre Ă  travers nos bonnes Ɠuvres. Notre tĂ©moignage ne doit pas seulement ĂȘtre un tĂ©moignage de parole, il doit aussi ĂȘtre un tĂ©moignage de vie. 4. Nous devons marcher selon l’Esprit Paul, dans son ÉpĂźtre aux Galates, chapitre 5, verset 13 Ă  26, nous appelle Ă  marcher selon l’Esprit. Dans ce passage, l’apĂŽtre nous explique que marcher selon l’Esprit c’est se rendre, “par la charitĂ©, serviteur les uns des autres” Galates 513, en d’autres termes, c’est avoir une foi agissante par la charitĂ© Galates 56. Paul nous dit encore “Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais mĂȘme mon corps pour ĂȘtre brĂ»lĂ©, si je n’ai pas la charitĂ©, cela ne me sert de rien.” 1 Corinthiens 133. Paul veut nous faire comprendre que la charitĂ© est essentielle, Ă  tel point, nous dit-il, qu’un jour tout disparaĂźtra mais seulement trois choses demeureront “la foi, l’espĂ©rance, la charitĂ© ; mais la plus grande de ces choses, c’est la charitĂ©â€ 1 Corinthiens 1313. Notre foi, mĂȘme si elle est accompagnĂ©e de bonnes Ɠuvres, doit ĂȘtre animĂ©e par la charitĂ©, un rĂ©el dĂ©sire de faire le bien de notre prochain. Il est tout-Ă -fait possible, et c’est malheureusement frĂ©quent, de voir des personnes faire de bonnes Ɠuvres plus par religiositĂ© ou par vantardise que par amour pour son prochain. C’est une maniĂšre de marcher qui n’est pas digne du Seigneur et qui ne lui est pas entiĂšrement agrĂ©able Colossiens 110. C’est seulement en marchant selon l’Esprit que nous serons capables de dĂ©velopper le fruit de l’Esprit – “l’amour, la joie, la paix, la patience, la bontĂ©, la bĂ©nignitĂ©, la fidĂ©litĂ©, la douceur, la tempĂ©rance” Galates 522 – qui nous Ă©quipera d’un tĂ©moignage de vie efficace en donnant Ă  notre message la capacitĂ© d’ĂȘtre reçu. Par ailleurs, si ce n’est pas par l’Esprit que nous marchons, c’est alors par la chair, “car la chair a des dĂ©sirs contraires Ă  ceux de l’Esprit, et l’Esprit en a de contraires Ă  ceux de la chair ; ils sont opposĂ©s entre eux 
” Galates 517. Or, Paul nous dit que “les Ɠuvres de la chair sont manifestes, ce sont l’impudicitĂ©, l’impuretĂ©, la dissolution, l’idolĂątrie, la magie, les inimitiĂ©s, les querelles, les jalousies, les animositĂ©s, les disputes, les divisions, les sectes, l’envie, l’ivrognerie, les excĂšs de table, et les choses semblables” Galates 519-21. De telles choses pourraient-elles nous aider d’une quelconque maniĂšre pour Ă©vangĂ©liser ? AssurĂ©ment pas, et bien au contraire, elles nous fermeraient des portes. Alors cherchons Ă  marcher en tout temps selon l’Esprit ! Puisse le Seigneur nous y aider. 5. Nous devons ĂȘtre remplis de l’Esprit Le baptĂȘme ou immersion dans le Saint Esprit, aussi dĂ©signĂ© par les termes ĂȘtre rempli ou revĂȘtu de l’Esprit, est une puissance qui nous est indispensable pour faire les Ɠuvres auxquelles Dieu nous appelle, et particuliĂšrement pour l’évangĂ©lisation. JĂ©sus lui-mĂȘme a du attendre d’ĂȘtre rempli du Saint Esprit Luc 41 Ă  l’ñge de 30 ans Luc 323, aprĂšs avoir Ă©tĂ© baptisĂ© d’eau dans le Jourdain par Jean le baptiste Matthieu 316, pour que son ministĂšre commence vĂ©ritablement. En effet, Luc 414 nous dit “JĂ©sus, revĂȘtu de la puissance de l’Esprit, retourna en GalilĂ©e, et sa renommĂ©e se rĂ©pandit dans tout le pays d’alentour.”. Et, Ă  en juger par l’étonnement qu’ont exprimĂ© les gens du peuple qui le connaissaient avant d’avoir reçu la puissance du Saint Esprit, JĂ©sus devait ĂȘtre, jusqu’à lors, considĂ©rĂ© comme une personne ordinaire. Luc 422 nous apprend que “tous lui rendaient tĂ©moignage ; ils Ă©taient Ă©tonnĂ©s des paroles de grĂące qui sortaient de sa bouche, et ils disaient N’est-ce pas le fils de Joseph ?”. Si JĂ©sus Ă©tait considĂ©rĂ© comme une personne ordinaire, c’est sans doute parce que sans la puissance du Saint Esprit, il Ă©tait contraint d’agir comme telle, malgrĂ© l’intelligence et les connaissances Ă©tonnantes qu’il possĂ©dait dĂ©jĂ  Ă  l’ñge de douze ans Luc 242-49. Si JĂ©sus, Dieu fait homme, avait lui-mĂȘme besoin d’ĂȘtre rempli du Saint Esprit pour faire l’Ɠuvre du PĂšre, Ă  combien plus forte raison avons-nous besoin d’en ĂȘtre remplis aussi pour cela ? JĂ©sus considĂ©rait non seulement que le baptĂȘme dans le Saint Esprit Ă©tait nĂ©cessaire mais aussi qu’il valait mieux qu’il s’en aille afin que le Saint Esprit soit rĂ©pandu sur tous ses disciples. En effet, dans Jean 167-15, JĂ©sus dit “Cependant je vous dis la vĂ©ritĂ© il vous est avantageux que je m’en aille, car si je ne m’en vais pas, le consolateur ne viendra pas vers vous ; mais, si je m’en vais, je vous l’enverrai. Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le pĂ©chĂ©, la justice, et le jugement en ce qui concerne le pĂ©chĂ©, parce qu’ils ne croient pas en moi ; la justice, parce que je vais au PĂšre, et que vous ne me verrez plus ; le jugement, parce que le prince de ce monde est jugĂ©. J’ai encore beaucoup de choses Ă  vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vĂ©ritĂ©, il vous conduira dans toute la vĂ©ritĂ© ; car il ne parlera pas de lui-mĂȘme, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses Ă  venir. Il me glorifiera, parce qu’il prendra de ce qui est Ă  moi, et vous l’annoncera. Tout ce que le PĂšre a est Ă  moi ; c’est pourquoi j’ai dit qu’il prend de ce qui est Ă  moi, et qu’il vous l’annoncera.” Ainsi JĂ©sus avait demandĂ© Ă  ses disciples de rester dans JĂ©rusalem jusqu’à ce qu’ils aient reçu le baptĂȘme du Saint Esprit. AprĂšs quoi, ils pourraient rendre tĂ©moignage de Lui Ă  JĂ©rusalem, dans toute la JudĂ©e, dans la Samarie, et jusqu’aux extrĂ©mitĂ©s de la terre Actes 14-5; 18; Jean 1526-27; Luc 2449. C’est pourquoi nous devrions, nous aussi, veiller Ă  ĂȘtre remplis du Saint Esprit avant de nous lancer dans l’évangĂ©lisation, et, ce, malgrĂ© toutes nos bonnes intentions. Il ne faut pas oublier que c’est l’Esprit qui convainc le monde, qui fait naĂźtre la foi Ă  travers nous, ce n’est pas nous. Pour ĂȘtre remplis de toute la plĂ©nitude de l’Esprit, Christ doit demeurer dans nos cƓurs afin que nous puissions comprendre “quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaĂźtre l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance” ÉphĂ©siens 318-19. C’est la rĂ©vĂ©lation de la mesure de l’amour de Christ qui nous amĂšne Ă  ĂȘtre remplis de l’Esprit et Ă  partager cet amour, et ça ne vient pas de nous, c’est un don de Dieu. JĂ©sus nous dit dans Jean 737-39 “Si quelqu’un a soif, qu’il vienne Ă  moi, et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture. Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui 
”. Nous devons chercher Ă  connaĂźtre JĂ©sus toujours d’avantage, par la mĂ©ditation de la Parole et par la priĂšre notamment, avec l’assistance du Saint Esprit, et Ă  Lui faire connaĂźtre notre dĂ©sire d’ĂȘtre revĂȘtu de puissance pour Le servir puisque c’est Lui qui baptise du Saint Esprit Luc 316; Marc 18; Matthieu 311. Si vous n’avez jamais encore Ă©tĂ© remplis du Saint Esprit, ne vous attendez pas forcĂ©ment Ă  voir descendre du ciel une colombe venant sur vous ou bien des langues de feu, le jour oĂč vous le serez. Bien que ce soit possible, ce n’est pas un principe biblique. Attendez-vous plutĂŽt Ă  manifester un ou plusieurs dons de l’Esprit, selon Sa volontĂ©, “pour l’utilitĂ© commune” 1 Corinthiens 127. En effet, la Parole nous dit “à l’un est donnĂ©e par l’Esprit une parole de sagesse ; Ă  un autre, une parole de connaissance, selon le mĂȘme Esprit; Ă  un autre, la foi, par le mĂȘme Esprit; Ă  un autre, le don des guĂ©risons, par le mĂȘme Esprit; Ă  un autre, le don d’opĂ©rer des miracles; Ă  un autre, la prophĂ©tie; Ă  un autre, le discernement des esprits; Ă  un autre, la diversitĂ© des langues; Ă  un autre, l’interprĂ©tation des langues. Un seul et mĂȘme Esprit opĂšre toutes ces choses, les distribuant Ă  chacun en particulier comme il veut.” 1 Corinthiens 128-11. 6. Nous devons aspirer humblement aux dons spirituels Comme nous l’avons dĂ©jĂ  vu voir le premier principe Ă©noncĂ© dans cet article, notre message ne doit pas reposer sur des discours persuasifs, sur la sagesse des hommes, mais Ă  l’instar de Paul, nous devons prĂȘcher la sagesse de Dieu, mystĂ©rieuse et cachĂ©e 1 Corinthiens 27, que Dieu nous a rĂ©vĂ©lĂ© par l’Esprit 1 Corinthiens 210 pour notre gloire. En effet, il est indispensable que, comme JĂ©sus, Paul ou les autres apĂŽtres, nous fassions reposer notre prĂ©dication sur cette dĂ©monstration d’Esprit et de puissance qu’est la sagesse de Dieu, afin que la foi de ceux qui nous entendent soit “fondĂ©e, non sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu” 1 Corinthiens 25. Nous avons dĂ©jĂ  vu la nĂ©cessitĂ© d’accompagner notre message d’une autre dĂ©monstration d’Esprit et de puissance; Ă  travers la manifestation de fruit de l’Esprit dans notre maniĂšre de vivre voir le quatriĂšme principe Ă©noncĂ© dans cet article. Nous avons vu l’importance qu’elle revĂȘt pour ouvrir les cƓurs de ceux Ă  qui nous prĂȘchons la Bonne Nouvelle de JĂ©sus et les convaincre de l’action puissante que Dieu a dĂ©jĂ  exercĂ©e dans nos propres vies. Maintenant, nous allons voir encore une autre dĂ©monstration d’Esprit et de puissance sur laquelle faire reposer notre message. Mais avant encore rappelons la nĂ©cessitĂ© de demeurer en Christ afin qu’il demeure en nous, car “comme le sarment ne peut de lui-mĂȘme porter du fruit, s’il ne demeure attachĂ© au cep”, nous dit JĂ©sus, ainsi nous ne le pouvons non plus, si nous ne demeurons en Lui Jean 154. Ainsi, il est important que nous demeurions en Lui et Lui en nous car sans Lui, nous ne pouvons “rien faire” Jean 154. Demeurer en Lui, c’est vivre en Ă©tant continuellement alimentĂ© par sa Parole, en cherchant Ă  suivre son modĂšle en toute chose, de sorte que Christ croisse en nous et que notre vieille nature charnelle disparaisse. Il est important que nous mourrions Ă  nous-mĂȘme car “Si le grain de blĂ© qui est tombĂ© en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt il porte beaucoup de fruit” Jean 1224. En effet, notre orgueil, notre soif de gloire naturelle, empĂȘcherait la gloire de Dieu de se manifester Ă  travers nous, car “Dieu rĂ©siste aux orgueilleux, mais il fait grĂące aux humbles” Jacques 46. ÉsaĂŻe 482 nous dit que Dieu ne partage sa gloire avec personne. Il nous faut rĂ©aliser que c’est en son nom et en son nom seulement, que nous pourrons baser notre message sur cette dĂ©monstration d’Esprit et de puissance que sont les dons spirituels. Marc 1617-18 nous dit “Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru en mon nom, ils chasseront les dĂ©mons; ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur feront point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guĂ©ris.”. En notre nom, nous ne pourrions rien faire. Ceci Ă©tant dit, nous sommes appelĂ©s Ă  aspirer Ă  tous les dons spirituels, mais surtout Ă  celui de prophĂ©tie 1 Corinthiens 141. Mais que ce soit pour l’édification de l’Église que nous cherchions Ă  en possĂ©der abondamment 1 Corinthiens 1415, non pour une vaine gloire. Pourquoi devrions-nous chercher Ă  possĂ©der le don de prophĂ©tie plus que les autres ? Paul nous explique que si, dans une assemblĂ©e de l’Eglise entiĂšre, “tous prophĂ©tisent, et qu’il survienne quelque non-croyant ou un homme du peuple, il est convaincu par tous, il est jugĂ© par tous, les secrets de son cƓur sont dĂ©voilĂ©s, de telle sorte que, tombant sur sa face, il adorera Dieu, et publiera que Dieu est rĂ©ellement au milieu de vous” 1 Corinthiens 1424-25. Le don de prophĂ©tie est sans doute le plus efficace des dons car il Ă©difie directement l’assemblĂ©e ou la personne qui en est l’objet. Paul nous dit que “Celui qui prophĂ©tise est plus grand que celui qui parle en langues, Ă  moins que ce dernier n’interprĂšte, pour que l’Église en reçoive de l’édification” 1 Corinthiens 145. On pourrait imaginer par exemple que le don de guĂ©rison soit bien plus efficace pour faire naĂźtre la foi, mais il n’en est rien. Rappelons-nous les dix lĂ©preux guĂ©ris par JĂ©sus “JĂ©sus, se rendant Ă  JĂ©rusalem, passait entre la Samarie et la GalilĂ©e. Comme il entrait dans un village, dix lĂ©preux vinrent Ă  sa rencontre. Se tenant Ă  distance, ils Ă©levĂšrent la voix, et dirent JĂ©sus, maĂźtre, aie pitiĂ© de nous ! DĂšs qu’il les eut vus, il leur dit Allez vous montrer aux sacrificateurs. Et, pendant qu’ils y allaient, il arriva qu’ils furent guĂ©ris. L’un deux, se voyant guĂ©ri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu Ă  haute voix. Il tomba sur sa face aux pieds de JĂ©sus, et lui rendit grĂąces. C’était un Samaritain. JĂ©sus, prenant la parole, dit Les dix n’ont-ils pas Ă©tĂ© guĂ©ris ? Et les neuf autres, oĂč sont-ils ? Ne s’est-il trouvĂ© que cet Ă©tranger pour revenir et donner gloire Ă  Dieu ? Puis il lui dit LĂšve-toi, va; ta foi t’a sauvĂ©.” Luc 1711-19. Sur les dix lĂ©preux guĂ©ris, un seul a reçu la foi et le salut qui l’accompagne. MĂȘme si ce taux de rĂ©ussite est faible, ce don reste important Ă  rechercher car Dieu est amour et qu’il veut guĂ©rir tous les malades Ă  travers nous, en dĂ©pit du fait que certains ne saisiront pas l’occasion en JĂ©sus de se rĂ©concilier avec Lui. En effet, la Parole nous dit “JĂ©sus parcourait toute la GalilĂ©e enseignant dans les synagogues, prĂȘchant la bonne nouvelle du royaume et guĂ©rissant toute maladie et infirmitĂ© parmi le peuple » Matthieu 423; “Le soir, on amena auprĂšs de JĂ©sus plusieurs dĂ©moniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guĂ©rit tous les malades afin que s’accomplĂźt ce qui avait Ă©tĂ© annoncĂ© par ÉsaĂŻe le prophĂšte Il a pris nos infirmitĂ©s, il a portĂ© nos maladies” Matthieu 817. Ne nĂ©gligeons pas le ou les dons spirituels que nous recevons ou que nos frĂšres et sƓurs en Christ reçoivent, car nous formons un corps, le corps de Christ, et nous sommes ses membres, chacun pour notre part 1 Corinthiens 1227. Et chacun des membres a besoin des autres membres et de leurs spĂ©cificitĂ©s pour que le corps subsiste 1 Corinthiens 1220-21. Aspirons aux dons les meilleures et pratiquons-les par la foi pour l’édification de l’Église! 7. Nous devons intercĂ©der par la priĂšre La priĂšre d’intercession est une aide complĂ©mentaire indispensable Ă  l’évangĂ©lisation. Paul l’avait bien compris; il exhortait les croyant Ă  l’assister par la priĂšre dans son ministĂšre d’évangĂ©liste “Faites en tout temps par l’Esprit toutes sortes de priĂšres et de supplications. Veillez Ă  cela avec une entiĂšre persĂ©vĂ©rance, et priez pour tous les saints. Priez pour moi, afin qu’il me soit donnĂ©, quand j’ouvre la bouche, de faire connaĂźtre hardiment et librement le mystĂšre de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaĂźnes, et que j’en parle avec assurance comme je dois en parler.” ÉphĂ©siens 6 18-20; “vous-mĂȘmes aussi nous assistant de vos priĂšres, afin que la grĂące obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grĂąces Ă  notre sujet.” 2 Corinthiens 111; “Au reste, frĂšres, priez pour nous, afin que la parole du Seigneur se rĂ©pande et soit glorifiĂ©e comme elle l’est chez-vous” 2 Thessaloniciens 31. Rappelons-nous aussi que dans l’Évangile de Matthieu, JĂ©sus, Ă©mu de compassion en voyant l’immensitĂ© de la foule d’ñmes Ă©garĂ©es, dit Ă  ses disciples “La moisson est grande, mais il y a peu d’ouvriers. Priez donc le maĂźtre de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson.” Matthieu 937-38. La priĂšre d’intercession est donc une mission pour tous les chrĂ©tiens, en vue de l’évangĂ©lisation. ÉzĂ©chiel 2230 nous dit que Dieu cherche des hommes qui se tiennent Ă  la brĂšche devant lui en faveur du pays, des intercesseurs. Car, en effet, Dieu notre sauveur “veut que tous les hommes soient sauvĂ©s et parviennent Ă  la connaissance de la vĂ©ritĂ©â€ 1 TimothĂ©e 24. JĂ©sus lui-mĂȘme, notre modĂšle parfait 1 Pierre 221, intercĂ©dait pour les chrĂ©tiens de tous les Ăąges afin que nous soyons prĂ©parĂ©s pour l’évangĂ©lisation Jean 179-26. La Parole nous dit que, mĂȘme maintenant, JĂ©sus “est Ă  la droite de Dieu et il intercĂšde pour nous !” Romains 834. AllĂ©luia! Nous devons rĂ©aliser que Dieu a besoin d’intercesseurs pour agir depuis les Cieux sur la Terre, car “Les cieux sont les cieux de l’Éternel, mais il a donnĂ© la terre aux fils de l’homme” Psaumes 11516. Si nous n’intercĂ©dons pas, Dieu ne pourra pas agir sur Terre, car Dieu se plie lui-mĂȘme Ă  ses lois. Alors intercĂ©dons et permettons Ă  Dieu d’agir et de nous utiliser afin que son rĂšgne vienne! As-tu dĂ©couvert, dans cet article, un ou plusieurs principes bibliques pour Ă©vangĂ©liser efficacement ? Lequel te semble le plus difficile Ă  mettre en Ɠuvre ? Laisse un commentaire 😉 Olivier BORG Le temps est loin de nos vingt ans Des coups de poings, des coups de sang Mais qu'Ă  c'la n'tienne c'est pas fini On peut chanter quand le verre est bien rempli Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ça m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille Et souviens-toi de cet Ă©tĂ© La premiĂšre fois qu'on s'est saoulĂ© Tu m'as ramenĂ© Ă  la maison En chantant, on marchait Ă  reculons Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ça m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille Je suis parti changer d'Ă©toile Sur un navire, j'ai mis la voile Pour n'ĂȘtre plus qu'un Ă©tranger Ne sachant plus trĂšs bien oĂč il allait Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Je m'ennuie pas, mais il faut que je m'en aille J't'ai racontĂ© mon mariage A la mairie d'un p'tit village Je rigolais dans mon plastron Quand le maire essayait d'prononcer mon nom Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ça m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille J'n'ai pas Ă©crit toutes ces annĂ©es Et toi aussi, t'es mariĂ©e T'as trois enfants Ă  faire manger Mais j'en ai cinq, si ça peut te consoler Buvons encore une derniĂšre fois A l'amitiĂ©, l'amour, la joie On a fĂȘtĂ© nos retrouvailles Ça m'fait d'la peine, mais il faut que je m'en aille Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Paroles d'un troubadour parti de sa Nouvelle-ZĂ©lande natale pour s'installer en France oĂč, guitare Ă  la main, il se fera grand passeur entre l'anglais et le français, adaptant par exemple Leonard d'un troubadour parti de sa Nouvelle-ZĂ©lande natale pour s'installer en France oĂč, guitare Ă  la main, il fera le passeur entre l'anglais et le français, adaptant certains des plus grands, comme Leonard Cohen. Retour sur une vie en mouvement, avec sur le chemin aussi le théùtre, l'engagement politique, et la Victor MacĂ© de LĂ©pinay. RĂ©alisation Laurence Millet. Prise de son François Rivalan. AttachĂ©e de production Claire Poinsignon.

il faut que je m en aille paroles